Délicieuse suspension Bulle, flotte au gré du temps Pensées virevoltent, d'autant plus Que l'corps est lesté d'attente L'essai d'avant marche pas Pour voir, c'qui va s'passer Dans l'espace j'm'éloigne Aller simple pour le roi Entre les murs de l'effroi reste calme Sous l'armure ressent pas l'froid Pour la princesse il insiste Depuis un mois chute du beffroi En chute libre Parachutiste Ivre Tournoie Son réel décrit des cercles Il ne se tient plus très droit Hâte de pouvoir refaire connaissance hâte Hâte de pouvoir décupler les sens Atterris où les sentiments décollent Hâte, D'éprouver quelques vacances À l'air libre À terre Ensemble On s'fout d'la gueule des passants On danse, sans les jambes de Michael mais passons Ma patience a fait d'ma gueule un dessin assez sombre Mon cœur palpite Tant qu'mon corps part vite Bientôt sur le parvis Une partie d'ma vie Avise toi d'la garder Elle aime pas le rap marie la Quelques couplets en aparté Pourquoi j'me suis pas encore barré là Barilla dans l'barrillet Ne feraient au pire que quadriller Les zones à caresses Pour les souffrances y'a que d'la paresse Au bout d'l'appareil un seul rêve de rendre la pareille en vraie Soûl, ivre, de fatigue, mais sourire près des oreilles Plus j'suis proche d'arriver plus j'm'éloigne Pas les mains moites pas l'âme en 4 Seul, le rythme cardiaque en témoigne Boum boum boum J'pars en vrille, poisson volant sans nageoire Du mal à cont'nir ma joie Pilote voit son volant pas les radars M'assoir en face de la femme la plus chaude De la soirée Un plaisir même si les plats sa fièvre ne pouvaient égaler Humeurs mélangées sous un tableau en briques Askip, y'a pas d'pudeur à pratiquer l'amour tantrique Hâte de pouvoir refaire connaissance hâte Hâte de pouvoir décupler les sens Atterris où les sentiments décollent Hâte, De retrouver cet état de transe Ça paraît tellement loin déjà Maintenant

À cours de mémos plus les mots Pour mes humeurs étrangères Émotions dérangent Ère glaciale Ceux qui fondent en larmes ne gèrent pas Ce qui fait fondre en larme ne gêne pas Complais toi dans la merde Ne plus rien faire c'est la crise Valide, attise le feu Pactise brûle dans ta chrysalide Perd, perd tes sens Cul sec de jerrican Vas y, vas y descend Tes canettes C'est là que les cœurs canent et Regarde y en a des centaines Si t'es cap écrase les cafards Y'a pas de radar pour les voix internes Converse avec mes terreurs, sorry j'ai Érigé un mur de doutes et tellement de fois ris jaune Et 10g dans ma race vertige du haut d'ma rage Qui j'étais pour regarder mes erreurs me corriger ? C'est sur j'trouverai tes yeux au plafond J'argumenterai tout en silence Tout dans l'ciment j'm'entirai pas À plat ventre plutôt qu'une césure Liam : Je ressens l'envie d'écrire mes voies internes Une vie sans audace laisse place au vide eternel La relation nocive AuKèLE il faudrait mettre un terme Celle avec le doute, tu sais celle qui t'as berné J'assiste à la destruction d'mon système, Sombre artisanat, mon cœur est noir, chaud et brûlant comme le tison Loin de là, L'objet d'mes rêves est plus que rare Je soulève une coupe pleine jusqu'à ras J'me sens cornu comme le bison

Ils sont pas si nombreux les chemins vers la paix de l'âme, Rien de necessaire, sinon du contrôle, vers l'appel de l'art. L'or se terre autant dans l'objet qu'dans l'œil qui le regarde. Prend garde, yeux sont, barreaux d'prison, comme pour un pur taulard Ou pire ; j'sais même si j'reve Quand l'bedo tourne Comme une toupie. J'aurai pas d'état d'âme si j'creve En f'sant kiffer même pour des groupies. Soupir, soupir, soupir, j'm'assoupi ou peut être même Que depuis longtemps déjà j'roupille Ma famille s'éloigne de moi sur le quai Ça a mis un peu de temps, pour réaliser, que c'est moi qui m'éloignais J'suis ému par tout cet amour, j'l'emmène tout par, le rayonne sur un parcours sur lequel je cours pas J'ai l'temps qui passe doucement qué-par, sur ce parking, j'pense, qu'il s'arrête mais ne gèle pas, indéfiniment, j'parle du temps pas du parking, t'en fais pas si tu suis pas, ça fait chier mais tant pis La pluie ruisselle, sur le macadam de Porto Il y a un temps pour tout sourtout, pour le vague à l'âme J'me sens immensément faible quand je m'enferme Ce sentiment de tristesse me rend si humain Alors c'est ok, ça passe Un autre pas après un autre pas après une impasse Maintes et maintes fois J'ai bu des pintes plein d'fois À la recherche d'un imposteur D'une main, d'un passage Vers un inconnu plus sain, Pluvieux, mais plus sage Plus quelque chose qui m'échappe J'ai traîné dans les parcs Joué le dandy dans les bars Compris qu'j'étais vraiment barge Me suis d'mandé dans quoi j'm'embarquais J'étais pété dans les parcs J'étais pété dans les bars L'incendie n's'eteignait jamais À chaque fois que j'm'enflammais Mais j'ai douté de qui j'étais, À en devenir bègue, merde Mots et pensées pêle-mêle Puis j'ai pigé que même si j'avais la rage de faire d'la merde J'preferais garder la flamme pas forcément les yeux vermeilles Ressentir mon humanité et ses tracas tel que Quand parfois dans mes idées ça va pas je me rappelle que La pluie ruisselle, sur le macadam de Porto Il y a un temps pour tout sourtout, pour le vague à l'âme J'me sens immensément faible quand je m'enferme Ce sentiment de tristesse me rend si humain

Au nom de tout ce qu'on était on a commis des outrages, non il n'existe pas d'amour qui nous fait ses otages. On s'est consommés, consolés, rendus fous d'amour, rendus sourds par des cloches qu'on sonnait. Perdus pour perdus, Même pas dans la même cage, Après tourner en rond, Il faut pouvoir tourner la page, Esseulés, à dos, au sol et tristes comme des ados obligés de compte des agneaux par les différences qu'on sommait. Mon cœur pardonne moi, pourquoi quand je te donne moi Je fais des blocages Je ne me connais pas, où vont mes phrases Où vont nos phrases Où vont NAUFRAGE Moteur en panne, dans les passages obscurs Mots d'tete en balle, on sent les tapages nocturnes Je respire à peine j'ai ta tête sur moi Peaux douces et transparentes Le souffle chaud appelle la buée Princesse et reine par ton amour tu régneras Toujours, Même si je pouvais je ne pourrais pas t'oublier Et je ne voudrai pas voudrai pas nan T'es si spéciale Tu as, tant de talents, dont le plus grand c'est d'être toi Tu es à la fois une constellation et une étoile comment je peux ressentir une tendresse aussi bestiale ? Quel est cet espoir Qui me laisse voir Un avenir sans séquelles Si nos sens nous attirent C'est qu'elle m'aime Pour ma part je sais Est ce qu'en tandem On est sensés guérir ? Gravir une pente et rire Je me sens dépouillé mais riche De toi, guéri, je le suis déjà Si je peux te chérir et ja mais n'pas fléchir devant toi Je respire à peine j'ai ta tête sur moi Peaux douces et transparentes Le souffle chaud appelle la buée Princesse et reine par ton amour tu régneras Toujours, Même si je pouvais je ne pourrais pas t'oublier Première nuit, à ne plus Te la souhaiter, Bonne, à répéter, Ce qui était n'est plus. Comme, je veux pas dormir, J'attend que le temps jaunisse. Sourire à la comissure, Triste, y'a que ça comme issue. Puisque que c'est dur, d'y voir un début, Des fois j'ai bu, Commis des salissures, Sur sommier de sales histoires, Dur de juste s'endormir, Cette première nuit, Sur toi, j'attire, l'amour le plus joli.

J'ai les souvenirs qui partent, qui partent... J'ai les souvenirs qui s'battent, qui s'battent en duel... Mes souvenirs t'embrassent encore quand j'ai ce son qui passe entre mes oreilles. Dur de retenir ces bras sans corps dans les abymes du monde c'est toi qu'ils recherchent. J'ai les souvenirs qui partent doucement, Puis reviennent d'un coup, quand siffle ma soupape Les pages se tournent doucement le temps, nous met des gifles au ralenti, Dont la violence aide à sortir de ce cycle de spleen, je la demande Pour dégeler la glace qui n'fond pas dans mon ventre Il faudrait qu'on l'entaille pour stopper l'hémoragie. J'au-rai Jamais pensé garder autant d'choses Rire aussi jaune Faut qu'je revienne à la vie les morts agissent pas, Je suis le seul membre d'un équipage qui se mutine. J'aimerais qu'ça change, mais ça changera pas, du moins maintenant, pas d'chance. J'attendrai que le temps passe plus rapidement j'peux rien faire d'autre : attendre, une autre crise de toi un peu moins grande jusqu'à la goutte d'eau Plus d'excuse, ni de message... C'est plus, facile sans réseau. J'voulais me cacher d'tes yeux pas jouer à cache cache Conscience noyée Dans un nuage de kush kush En un tour de, le temps passe passe Amenuise la mémoire dont la menuiserie jamais ne casse casse J'ai les souvenirs qui partent, qui partent... J'ai les souvenirs qui s'battent, qui s'battent en duel... Mes souvenirs t'embrassent encore quand j'ai ce son qui passe entre mes oreilles. Dur de retenir ces bras sans corps dans les abymes du monde c'est toi qu'ils recherchent.

Tu crois qu'on a cessé de s'aimer toi ? C'est vrai qu'en soit c'est comme une fin Pourtant c'est pour toi que depuis cette fin j'essaie Tant bien que mal De faire de mon mieux Pour semer des étoiles Semer mes démons quoi Qu'il arrive Harmonieusement si possible Tous les deux c'était impossible mais T'es en moi comme un fossile Parfois j'avoue sans toi c'est poussif Et sur mon parcours j'ai des photos Des pancartes des photos des encarts qui m'rappellent Celui que j'étais qui appelait à l'aide Mais maintenant mais maintenant Plus ça va et plus je pense à toi dans mes bras Comme c'était l'cas ou comme ça pourrait l'être, après Après quoi j'en sais rien, j'sais même pas c'que tu fais avec qui Ou même si c'est sain d'écrire tout ça J'espère juste que tu souris, Que tu prends soin d'toi J'espère qu'elle est belle ta vie Qu'il est bien ton stage J'espère qu'il croisera celui De gens inspirants Ton ch'min S'il devient difficile J'aimerais te dire Tire pas cette tronche Et prends moi la main Le sourire prend pas le corps mais l'âme hein ? Les souvenirs passent encore du rire aux larmes Plus j'repete ce texte Et plus j'm'entete c'est bête Mais plus mes espoirs d'avenir Te font la fête Alors persiste dans c'que t'aimes Serre les dents et bats toi Non j'plaisante, quand j'dis ça Clairement j'm'en fais pas T'es une batteuse et ça j'le sais T'es imbattable t'as ça dans l'sang T'es un trésor j'essaie d'le dire Depuis longtemps t'as ça dans l'centre du coeur J'me d'mande vraiment, si tout va bien dans ta vie Et si c'est sain d'écrire Tout ça J'vois des signes de ton existence Autour de moi j'm'en rejouis Fini pour moi de m'excuser C'est fini J'vois des signes de notre existence Autour de moi et là c'est black-out Les traits des visages sont même plus définis on était qui ? une sainte un gars à l'ego coquet lucidité d'un coké j'ferai mieux de tout oublier Je crois ? j'y travaille sous mon tablier mon cœur en croix Quoique ce soit j'y arriverai j'y crois faut qu'j'arrete d'écrire aucune pertinence aucune partition tout est parti est ce que c'est bien sain d'écrire tout ça ? bref, c'est pas très clair sur le passé ok, j'l'accepte j'ai, dit au début qu'pour toi j'avais changé c'est pas vrai Pour être correct, c'est grâce à toi et pour moi ça donne à ton amour, d'autant plus de pouvoir je sors grandi de tout ça toi aussi j'l'espere de tout mon coeur, bon merci et à très vite dans celui là ou un dans un autre monde je tremble comme si j'allais combattre un gros dragon et que j'te l'gueulais de loin pour de bon Tu le mérites, alors sois heureuse dans ce monde À ton rythme, avec tout son amour à chaque seconde seule, ou même dans les bras, d'un autre garçon J'ai jamais vraiment été sage Mais j'ai jamais vraiment voulu apprendre À me calmer Pour ne pas t'envoyer de message Sur mon bloc notes je t'écris, Je ne veux plus être pour toi un récif Puisque qu'il s'agit de tourner la page J'ai, appris beaucoup d'choses et même à me calmer L'homme a ses passages, C'est sûrement a côté d'la plaque Mais j'espère qu'un jour, on pourra se retrouver Avec une tête qui fonctionne Et un cœur qui brille Pour juste discuter Et pourquoi pas s'aimer, dit ? Ça j'm'en fou si c'est sain ou pas de l'écrire