1. |
Où ? (Prod. Towerz)
02:43
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Dans la voiture qui fonce
Et fracasse la pluie
Quelques pas sur les pavés
Qui réveillent la nuit
Quelque mots sur mon écran
Le soir qui m’éblouissent
Remplissent mon carnet
Par le biais de ma plume
J'hume,
L'odeur du béton
mouillé, agressive
L'ardeur du soleil à chasser la nuit
J'observe d'un seul œil
Te sens pas visé
Dis moi où c'est
À peine réveillé j'irai
Dis où c'est que tu préfères être ?
où c'est que tu préfères être ? (x2)
Dis où c'est que tu préfères être ?
où c'est que tu préfères être ? (x2)
Dis où c'est que tu préfères être ?
où c'est que tu préfères être ? (x2)
Dis où c'est que tu préfères être ?
où c'est que tu préfères être ? (x2)
Dis mois où
À peine réveillé j'irai
Dans la voiture qui fonce
Et fracasse la pluie
Quelques pas sur les pavés
Qui réveillent la nuit
Quelque mots sur mon écran
Le soir qui m’éblouissent
Remplissent mon carnet
Par le biais de ma plume
J'hume,
L'odeur du béton
mouillé, agressive
L'ardeur du soleil à chasser la nuit
J'observe d'un seul œil
Te sens pas visé
Si ce n'est par les bisous
Ma douce ennemie
Dis où c'est que tu préfères être ?
où c'est que tu préfères être ? (x2)
Dis où c'est que tu préfères être ?
où c'est que tu préfères être ? (x2)
Dis où c'est que tu préfères être ?
où c'est que tu préfères être ? (x2)
Dis où c'est que tu préfères être ?
où c'est que tu préfères être ? (x2)
Dis mois où
À peine réveillé j'irai
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2. |
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Refrain
Je sens bien que les choses changent
Ne crois pas à la malchance
Me rend bien compte du chanceux
Que j'étais
Peu importe ce que je pense
Pour moi l'avneir est immense
Maintenant que je ne me demande
Plus qui j'étais
Couplet 1
Encore, quelques données à traiter
Quelques, souvenirs à ranger
Tel que, plus jamais contre moi je ne m'insurge
Le passé dans le moi qui vient dans l'avenir infuse
Je n'en veut pas de ces chaînes,
Je n'en veut pas de ces chaînes,
Oh oh
Je n'en veut pas de ces chaînes
Libre et solide comme les chaînes
De montagne
Oh
Être mâture être nature je crois que pour moi c'est pareil
Être le plus fort être le plus dur si c'est pas toi pourquoi faire ?
Tu n'en veux pas de ces chaînes
Tu n'en veux pas de ces chaînes
Oh oh
Tu n'en veux pas de ces chaînes
Le trésor est dans l'équilibre
J'ai compris, quelles sont les hautes sphères
Dans lesquelles je navigue
C'est les boules de mon épiderme.
De ma vie, elles sont le moteur le mentor
À mon entourage, elles me rendent sensible
Il m'arrive, de perdre la vue
Mais jamais sur mes narines
La Terre, j'en vois qu'une où certains
Ne voient que deux hémisphères
Personne ne devrait être personne pour personne
Juste être avoir le droit d'exister.
Bientôt parti pour le voyage
Je serai mon propre voyeur
Si pour évoluer y'avait que ça
Je préférerai qu'on me taillade
Tiens ton billet c'est incroyable
Il m'arrive de penser à hier
J'irai ailleurs avec mon sac
Et mes souvenirs sur la lanière
Tout ça pour mieux revenir
Refrain
Je sens bien que les choses changent
Ne crois pas à la malchance
Me rend bien compte du chanceux
Que j'étais
Peu importe ce que je pense
Pour moi l'avneir est immense
Maintenant que je ne me demande
Plus qui j'étais
Couplet 2
Je n'sais pas si il fait froid ou si je suis
Simplement ému.
Les images de mes souvenirs percutent,
Ne lésinent pas sur les rébus.
Perdu, dans l'immensité d'un arrêt de bus,
Les mots minent, sur le papier momifient
Le môme que je suis, l'émo, jusqu'à son hémoglobine
Modifient.
Jette en pâture toute armature tes pensées en jet partent
Quête entêtante de ta nature, t’épands pas ça n'aide pas
Tenté à l'usure, méchanceté démesurée
Tu casses du sucre sur mon dos ou sur mon jetpack ?
Bientôt parti pour le voyage
Je serai mon propre voyeur
Si pour évoluer y'avait qu'ça
Je préférerai qu'on me taillade
Tiens ton billet c'est incroyable
Il m'arrive de penser à hier
J'irai ailleurs avec mon sac
Et mes souvenirs sur la lanière
Couplet 3
J'ai toujours eu à l'idée les changements d'instru,
Je ne parle pas que de point d'vue,
Voulais ajouter un truc.
Pour tout poser je ne laisserai jamais bien sûr
Plus le tape à l'œil faire de moi une baguette de pain dur
J'essaierai (x7)
Rien n'est magique dans la dope,
Si c'est tragique quand tu cop pas,
Ne te moque pas
De l'apparence de l'habit des autres
Au moins aussi différents que toi
J'ai toujours su au fond que c'est moi que le mal que je fais offense
Pour tous ces actes ostensibles
Pourquoi attendre la potence
Pour se rendre compte
Que le cou est une zone sensible ?
Désolé si j'ai chargé sur tes épaules
Tous le poids que je ne portais pas
Je m'écrase. Ne voulais pas de cette image d'une autre
Qui n'existe pas J'aurais
tellement voulu t'aimer toi
Toi c'est toi
Moi c'est moi
Ne pas mélanger, les deux existent
Quand les sourires fleurissent, les âmes s'exhibent
Il n'est jamais trop tard pour ça
Merci pour tout
Pour ça
Pour tout
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3. |
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J'écris ces, quelques mots, car
Quelques morts, passent
N'écoutent pas ce guitariste
Qui pratique un métier à risques
Mais, pas pour lui
Il joue, pas pour les morts,
Il joue, pour le son puis
Frappe avec ses accords
Qu'est ce qu’il m'arrive ?
J'en ai, presque marre il
M'empêche de checker ma montre
M’ordonne de rater mon bus
Et contre
Toute attente,
J'crois maintenant que tout attendra
J'me demande, ce qu'il attend
Pour ne jamais s'arrêter
Ah, ça recommence encore
Ça fait vibrer tout le corps
Je n'sens, plus le froid
Peut être que je suis là
Depuis 300 minutes et alors ?
Quitte à ne jamais être à l'heure
J'pourrai toujours rester dès lors
Qu'il me restera des dollars,
Assez de degrés dans le corps.
Cette terrasse sera mon port,
D'attache
Où personne ne se cache
Car les vagues quand même t'emportent.
Olà Carlos
Le phare sera encore,
Tant que resteront les cordes
Sur la guitare,
Bordel c'est mortel, pourvu qu'il tarde.
J'aperçois d'ici la queue
Devant le majestic café
Paraît que c'est magnifique
Quoi ? Je m'en fiche, à vrai
Dire
Ça me fait ni chaud ni froid
Si pour d'autres c'est un kiff, parfait
Après un café qu'on boit
Y'a tout un monde à refaire
Et y'a cette fille qui tourne autour
Qui prend des photos tend des sourires
Attrape celui des touristes
Traque celui du guitariste
Et enfin l'attrape comme on attrape
Un objet qu'on nous lance
Le range au fond de sa pensée
Trésor que nul ne peut voler
Un sourire est une grâce
La musique est une grâce
L'amour avec tout ça
Donne une raison au temps de passer
Un sourire est une grâce
La musique est une grâce
L'amour avec tout ça
Donne une raison au temps de passer
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4. |
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Couplets
Ça fait des mois que t'existes juste
Dans mon songes
Dans mes rêves
Voir des messages de toi
Un coup d'jus
En fait...
t'existes pour de vrai
Et tu souris tu fais des blagues
Qui me font bien rire, j'aimerais répondre
Puis je regarde dans le vague
Où s'est déjà noyé le spontané
J'ai découvert ce truc sensible
Que tout au fond souvent je réprimais
S'il me voyait là cet effronté
Je lui ferai peut être un peu de peine
Mes sentiments sont pompette
De l'eau a coulé sous les ponts
Mais pas assez apparemment
Je me sens bien vide pour une éponge pleine
Un son glaçant de trompette,
Est venu trouer le silence
Dans mon mur frais de ciment
Les fissures aussi durcissent
Refrain
Je sais pas quoi exactement
Au fond de mes yeux il y a beaucoup de choses
Je sais pas quoi exactement
Est ce qu'au fond de ton ventre ça bouge toujours autant ?
Pont
Parler pour parler (x3)
Faut pas parler pour parler
Parler pour parler (x3)
Faut pas parler pour parler
Parler pour parler (x3)
Faut pas parler pour parler
Parler pour parler pour parler pour parler
Faut pas
Je ne sais pas quoi dire
Je ressens
Refrain
Je sais pas quoi exactement
Au fond de mes yeux il y a beaucoup de choses
Je sais pas quoi exactement
Est ce qu'au fond de ton ventre ça bouge toujours autant ?
Solo de guitare
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5. |
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Partie 1
TDPDMC
Partie 2
Je crois que je fuis mes proches
Sans le vouloir vraiment
Quand je vis la débauche
Le porte la monnaie fuient mes poches
Les démons nous approchent, la nuit
Je ne fais pas toujours partie du vraiment monde
Demain dès l'aube on ouvre nos mains comme l'a dit l'autre
Alors des l'aurore on se noie dans l'or comme l'a dit l'eau
Pétards dans mon crâne
Pétards dans mon crâne
Réflexions cycliques, je me sens cerné
Je suis sincère né, comme ça
Je le resterai jusqu'à ce que je perde mes
Fonctions vitales
Le miroir voit des cernes et des visages
Pas éclairés, y lit quand même
Comme sur un visa
Comme dans un livre ouvert
Des pages se perdent
Si tu voyages
dans l'illusion
Dans le mirage
Y'a la glissière et y'a la bonne trajectoire du virage
Change la donne pas le sort du tirage
Je réfléchis encore
Jusqu'à ma manière de réfléchir
Je nie pas les gifles
Genoux pas fléchis
Je me repasse mes torts
Ce que j'aurais pas pu faire pire
Prison de l'éméché
Frisson le long de l'échine
Alors je me regarde dans les yeux
Pour tenter de comprendre
Je veux pas planer dans les cieux
Pourtant tout ce qu'on prend
Dans tout ça je médite
Mais je reste terre à terre
À force de tousser je me dis
Que j'édite, même si va pas me plaire
Partie 3
PDPDMC
Partie 4
Et finalement ça fait son bout de chemin
Je sens à nouveau les aspérités de l'âme, j'ai grisonné les parchemins
Quête de cohérence pour faire péter l’errance corrosive mentale panique de crise dyslexie triste lexique athlétique négativement
Hystérie entérine s’exprime de temps En temps..
Sous la forme d'un démon tellurique
Que personne ne comprend
Ça rend si triste,
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6. |
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7. |
B12 (Prod. Jimbim)
04:23
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Personne n'est insensible aux enchantements
Ils deviennent sans cible en chantant
Sentant l'encens entêtant la sentence approche
Le petit nourrisson en tétant sa pitance aux seins de sa mère se raccroche
Ecorché aussi, par les crochets gauche droite de la vie
Mais tant pis
A la dèche comme Aladin, coup de poker, part sur un tapis
Sera-t-il fier de son épitaphe ?
Servira-t-il de composte aux épis ?
Il sert des lettres qu’il n’ose pas poster puis
Perd toute notion, embrasse des épines
Joues rouge min-car
joue ses grosses cartes
Serre ses mains car
perd ses grosses cartes
Persévère, se sert un verre de cognac
Plus d’espoir à part dans le verre de cogniac
Des hauts et des bas, laissez-le au moins se débattre
Encore un mauvais départ, la suite fera sûrement débat
Les misanthropes ne s’apprécient pas entre eux
J’ai dit que j’étais pressé on me laisse pas entrer
Peintre peint ses fresques
Si j’avais eu un pinceau
J’y aurais été presque
Salut chienne donne moi la patte
Tu sais comment
Allez vient on va au parc
C’est là que tout commence
Arrêter d’écrire des conneries
Avec toi me rouler dans l’herbe
Dans mon air plus d’odeur de weed
Dans mes feuilles plus la même herbe
Je me répète, je me répète
Mes démons écrivent des bêtises
Des sirènes, des sirènes
Jolis vecteurs de belles rimes
Mais peut être, mais peut être
Écrivaient aussi l’épithète
D’une folle jeunesse, d’une folle genèse
Maintenant...
Je suis l’acteur de belles rimes
Refrain (portugais)
Viajar viajar para te amar,
Parar, parar para te olhar
Sei onde estás,
Não perto de mim
Quand est ce que ça changera ?
A decisão é para ti (x2)
Viajar (x4)
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8. |
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Refrain
Dans aime ton prochain comme toi même
aime ton prochain comme toi même
Y'a toi (x2)
Couplet unique
Dans aime ton prochain comme toi même
Y'a toi mais
Vision masquée comme un touareg
Tellement plus simple de ne prendre soin que des autres, j'ai
jamais vraiment voulu être un OG
Ah j'ai, pas trop donné pour la bonne cause
J'mets, ma connerie en commun comme dans les kolkhozes
Tellement âgé pour un si jeune âge
En nage, sur le contrat de vie y'a pas de clauses
Destruction du corps, par ennui
Y'a que la nuit que les parents nuisent pas
À la vie mais faut du whisky
Pour dormir
J'ai le droit de me détruire mais pas mes proches
Regard aussi vide que les poches
Je suis pas seul à ressentir ce genre de pensées
Merci, c'est du passé, mais, toujours pas dépassé
Refrain
Dans aime ton prochain comme toi même
aime ton prochain comme toi même
Y'a toi (x4)
Outro
Pour moi tout allait bien mais j'ai quand même été barge
Dieu merci. j'ai pas été seul pour mener ma barque
C'est pas le cas partout force pour les parcours
De toutes ces filles et gars alentours
Faites en sortes d'être fier de toi
Fais en sortes de prendre de vous
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9. |
10 ans (Prod. YZ)
03:29
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Couplet 1
J’ai tout mais je n’ai presque rien
Je m’amuse bien mais dans ce qu’il reste de temps j’étouffe
Une fois ouverte, la piscine éclaboussait des sourires enjoués
Bientôt un an qu’elle est couverte
Mes amitiés , incassables, qui sonnaient « ding dong »
Se sont tordues, comme les barres, de la table de ping pong
Elle crie de tout son bleu depuis le fond du jardin
Mais passe à côté des yeux, plus rien ne sent le jasmin
plus rien ne sent le jasmin
Pont
Le thé est dev’nu de l’eau
Le café comme du pétrole
Ne peut plus puiser de l’or
Dans la terre des âmes molles
Qui peut se soucier de l’autre ?
La misère est à la porte
Le thé est dev’nu de l’eau
Le café comme du pétrole
Ne peut plus puiser de l’or
Dans la terre des âmes molles
Qui peut se soucier de l’autre ?
La misère est à la porte
Elle est entrée depuis l’aube
Et puis ma maison est morte
Couplet 1
Où est ma place là dedans ?
Je ne fais que des petits pas de dance
Et pourtant
Le frigo sent le rance
Les vacances n'en sont plus
Je deviens la maman de ma maman
Depuis que papa est parti
Elle mange peu
pour imiter
Les oiseaux, c'est ce qu'elle dit
Ses yeux sont parmis les moineaux
Le piano est devenu un meuble
Et l'horloge un tableau
C'est le matin qu'elle dîne
En restant interdite
Comme un chantier dont tout le monde sait qu'il ne sera jamais fini
Elle disparaît,
Tout en étant encore là.
Et je ne sais pas quoi faire
Seuls mon petit chien, et mon
Petit chat, s'interposent
Entre moi et l'enfer.
Mon frère me parle mal
Ne se doute pas
Que plus tard
J'aurai tout le mal
Du monde
À débarrasser mon langage
De toutes ces insultes,
Qui m’éduquent à son insu.
Pourquoi maintenant,
papa et maman se battent
Pour ma garde
Comme s'il voulaient m'avoir ?
Alors qu'avant à la gym
Personne n'était là pour moi
On m'oubliait
J'attendais quelques heures dans le noir
Et c'était pas grave ?
Noir
Comme l'eau de mon arrosoir
Noir
Comme le regard du blizzard aiguisant sa lame
Seules les rimes que j'écris m'embrassent
Outro
Ce matin c'était
mon anniversaire
Et personne ne me l’a souhaité
Pas de cadeau
Que des larmes versées
Un rien aurait été suffisant
Je viens juste d'avoir 10 ans.
10 ans
|
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10. |
Deux fois (Prod. Kokoro)
02:36
|
|||
Intro
Je suis pas très pour mais récemment j'ai dû, prendre
Un avion pour les études
Je suis pas très pour mais récemment j'ai pris
L’avion pour les études
Je suis pas très pour mais récemment j'ai pris l'avion pour les études
Loin de la mif, loin des miens, j'ai quand même mis mon stud
Dans mes valises
fais glisser quelques bouffées d'air pur sur ma salive
Tout m'est inconnu ici et c'est même pas l'hiver
Viens le froid s'en va l'été
Tout va trop vite je ne vois que des traits
Dans mon rétro, qui l'eut cru
Je me suis même habitué à prendre le métro
Moi, qui faisait le tour de ma ville en vélo
Ici le bout de la rue c'est déjà trop loin
Pause
Je suis un nage il faut que je reprenne un peu d'air
J'ai moins de sueurs froides dans ce quadrillage
Que dans les cases de tous ces formulaires
À croire que rien ne marche hein
J'attends encore la fin
De mes démarches
Enfin c'est pas gagné mais je m'adapte
Un, mois déjà
Ou seulement
Que je suis là
Je ne sais plus vraiment
Mais je me sens bien
Je saurais pas dire si je suis là depuis 10 ans ou 10 minutes
Ma seule certitude
C'est que dans un instant
Je n'y serai plus
Refrain
J'ai changé deux fois
D'environnement en beaucoup moins d'un mois
Je regarde autour de moi et me demande en quoi ça me change ?
J'ai changé deux fois
D'environnement en beaucoup moins d'un mois
Je regarde autour et me demande en quoi ça m'change, moi ? (x2)
Solo
Refrain
J'ai changé deux fois
D'environnement en beaucoup moins d'un mois
Je regarde autour de moi et me demande en quoi ça me change ?
J'ai changé deux fois
D'environnement en beaucoup moins d'un mois
Je regarde autour et me demande en quoi ça m'change, moi ? (x4)
|
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11. |
amOur (Prod. Ravenrapid)
01:33
|
|||
On parle plus du fait de se lasser que de la persévérance
Aimer,
Un dur et long combat ou une jouissance furtive ?
C’est tellement léger, le sexe
Tellement éphémère, aussi
Je crois, que c’est pas de ça qu’on rêve, au fond
L’affront vrai, qu’on se fait
C’est de confondre l’autre et soi-même comme destinataire
De l’amour qu’on croit donner
Celui qu’on se destine se nourrit d’égo, de grands moments
Nous imagine, dans des films qui ne mettent en scène qu’un héros, bref
Y’a pas de place pour les autres, déso,
J’essaierai peut être d’y repenser quand je n’aurai plus de réseau hein
L’amour des autres au contraire ne s’encombre d’aucune prétention
Il sait se satisfaire
Du meilleur des pires situations,
Son bonheur c’est celui des autres
Son malheur c’est celui des hommes
Pas comme notre société, il n’attends rien en retour d’un service.
Il se nourrit
De tendresse de bienveillance
De nos jours tellement de gens préfèrent manger d’autres aliments
Rester impassible se cacher ne rien ressentir
Tourner en rond parce que c’est à la fois une impasse et une fuite
Il se nourrit aussi, de patience de sacrifices
C’est donc bien un combat long, dur
Mais pas comme les milliards il est à la portée de tout le monde
C’est une des raisons qui fait qu’il vaut bien plus que ça…
|
||||
12. |
||||
Les plaisirs du corps laissent un vide quand ils s’en vont
C’est le même principe pour la pub et la monnaie
Tout le monde s’éclate même les bulles de savon
Ce n’est pas nos rêves non non c’est juste un concept
Maintenus dans un état de presque bonheur
Il manque toujours ce qui fait qu’on en redemande
Alors on court court vers ce bonheur
Sur un tapis roulant situé dans son anti-chambre
Au bout d’un moment forcément on s’épuise
Manque de patience on veut tout et on le veut très vite
La raison pour laquelle on ne vole pas on l’évite
On hésite, laisse nos soleils se ternir dans les rayons
Peu à peu tourne autour de nous le de-mon
Qui a intérêt à ce qu’on soit si peu lucides ?
On croit qu’on donne donne l’amour mais nous le prenons
L’amour n’a pas de corps de famille ni même de prénom.
|
||||
13. |
d o d o (Prod. Yusei)
03:46
|
|||
Refrain
Encore cet état de fatigue dans lequel seule la passion peut me retenir
Mes doigts caressent ce clavier mieux qu’ils le feraient pour une jolie fille
Y’a 5 minutes à peine j’en étais à deux de m’endormir
Puis la musique est passée par là me voilà à 10 lieues du dodo
Dodo
Dodo
Dodo
Dodo
Dodo
Dodo
Couplet
Mon humeur est changeante ces temps-ci
Pas de souci c’est pas dérangeant
J’assiste à cet adulte dans ma vie
Qui s’émancipe et prend les commandes comme le ferait un adolescent
Ado
Ado
Ado
A deux ce soir on sera dans le lit on fera des caresses
On se ratera pas même des grossières erreurs deviennent de tellement jolies choses
Ou devrais-je dire surtout, pousse moi à la faute
Emmêle moi de tes folie, j’en ferai des tresses
Effleurer cet espace vierge des pas des autres
Ou me dépasser moi – même
C’est, devenu ma dose
Sauf que je suis pas drogué,
Ni à cran, je suis okay,
Devant mon écran
Je répète mes textes comme un perroquet
C’est le cas
A chaque fois
qu’à la nuit je madosse
c’est l’escalade
jusqu’à
la scoliose
tant que ma prose ne se paralyse
tout restera toujours possible
N’est-ce pas ? oui
Je réponds à sa place elle est pas très bavarde aujourd’hui
Elle préfère écrire
et jouer la comédie
Pont
Joue la joue la coquette, on ne te saisi jamais concrètement
En cas d‘inspi je m’assied et j’attend qu’on me dicte
J’ai le temps je suis en précieuse compagnie
Là tout de suite je suis beaucoup trop fatigué pour te guider où tu veux pas aller
Encore une fois la musique m’a sciée en deux, on ira jusqu’au soleil si t’insistes.
Refrain
Encore cet état de fatigue dans lequel seule la passion peut me retenir
Mes doigts caressent ce clavier mieux qu’ils le feraient pour une jolie fille
Y’a 5 minutes à peine j’en étais à deux de m’endormir
Puis la musique est passée par là me voilà à 10 lieues du dodo
Dodo
Dodo
Dodo
Dodo
Dodo
Dodo
V A P
|
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